Conakry, le 05 Février 2016.
Ici Jules discute avec une ancienne voisine, du quartier de Camayenne, qui refuse de sortir de chez elle, par peur d’être contaminée à son contact.
« Beaucoup ont vu que j’avais maigri et avec la rumeur ont déduit que j’avais été infecté. La stigmatisation a commencé. Certains me fuyaient, d’autres racontaient que les blancs m’avaient payé pour que je dise que j’avais eu Ébola. »