C’est l’heure du coucher au pavillon. La nuit est souvent source d’angoisse pour les patients. Hervé, aide-soignant, passe d’une chambre à l’autre pour saluer, aider, ou juste observer. « Au coucher il faut s’adapter à nos patients. On prend le temps, il y a beaucoup d’échanges. On fait en sorte que ce soit agréable. Le coucher est aussi un soin. Il faut beaucoup d’humanité, de l’écoute et de la compréhension. Il y a un peu de maternage aussi mais en fait nous sommes un peu un complément familial. C’est une grande famille ce pavillon. »