Andréa (à droite), aide médico-psychologique (AMP), s'occupe du petit jardin du pavillon avec une jeune patiente. «Je n’ai jamais eu peur des patients du pavillon 1. Ma grande crainte venait plutôt de mes modes de prise en soin. Ma priorité a toujours été de faire attention à ma posture soignante, à mes valeurs. Etre dans l’écoute et la bienveillance. Ma façon de recevoir leurs souffrances. Il faut écouter pour prendre en compte les histoires de vie. Comprendre la maladie pour trouver la bonne façon d’aider.»